Bienvenue dans cette fiche de lecture complète sur Vingt-quatre heures de la vie d’une femme de Stefan Zweig.

La fiche est plutôt destinée à des élèves qui prépareraient l’oral du bac de français et chercheraient quel roman présenter pour l’épreuve, mais si elle vous donne envie de lire l’oeuvre pour le plaisir, alors c’est super !

En matière d’introduction

Peut-on tomber amoureux d’une homme uniquement en observant ses mains ? C’est l’une des questions que se pose Stefan Zweig dans cette magnifique nouvelle.

En reprenant le code tragique des vingt-quatre heures, l’auteur nous plonge dans une folie amoureuse d’une incroyable intensité tout en adoptant la perspective passionnante d’une marginalisation : celle de madame Henriette, quittant mari et enfants pour un homme rencontré une journée plus tôt.

La nouvelle s’intéresse aux sentiments féminins, mais aussi aux regards portés sur eux par une société qui ne tolère aucun écart.

Pour en savoir plus, remontons le temps d’un peu plus d’un siècle, et dirigeons-nous vers la Côte d’Azur, où se joue notre drame.

Quelques mots sur Stefan Zweig

Stefan Zweig peut être considéré comme l’auteur autrichien le plus populaire.

Sa mobilité fascine. Il a beaucoup voyagé en Europe au début du XXe siècle, période qu’il raconte dans son autobiographie : Le monde d’hier.

Les deux guerres mondiales l’ont chacune marqué différemment : il a abandonné son patriotisme au profit d’un pacifisme universel après la première, et a été contraint à l’exil en raison de ses origines juives pendant la deuxième.

La ville qui l’accueille, Petrópolis au Brésil, est aussi celle qui le verra se suicider en 1942.

Pourquoi Stefan Zweig est-il connu ?

Stefan Zweig est surtout connu pour ses nouvelles : “Le joueur d’échecs” et “Vingt-quatre heures de la vie d’une femme”. C’est finalement assez réducteur pour un écrivain ayant aussi écrit des pièces de théâtres, essais et biographies, partageant tous la même finesse de style.

Quel est le mouvement littéraire de Stefan Zweig ?

Le mouvement littéraire le plus proche du travail de Stefan Zweig est le réalisme. Intéressé par la psychologie des personnages et le refus des conventions, le recours à une écriture réaliste lui permet de parfaitement peindre les sentiments humains.

Présentation de la nouvelle

Vingt-quatre heures de la vie d’une femme est l’une des oeuvres les plus connues et appréciées de Stefan Zweig. Ce dernier y analyse, dans un système de récits enchâssés, la psychologie de deux femmes tombées folles amoureuses d’un homme en l’espace de quelques heures.

Pourquoi lire vingt-quatre heures de la vie d’une femme ?

Il faut lire vingt-quatre heures de la vie d’une femme pour mieux comprendre l’immense succès de son auteur : Stefan Zweig. La finesse de l’analyse psychologique et le style très digeste et pourtant profondément littéraire font de cette nouvelle une oeuvre majeure du XXe siècle.

On retiendra tout particulièrement la beauté saisissante de la description des mains des joueurs de Casino.

Mrs C., qui prend en charge la narration à ce moment de l’histoire, est capable de déduire des mouvements des mains l’état psychologique de leur propriétaire.

Alors qu’elle s’abîme dans cette contemplation qu’elle rapporte au lecteur, son regard s’arrête sur une paire de mains sortant du lot, dont elle va tomber follement amoureuse.

Ce n’est pas tous les jours que l’on peut lire de si belles lignes sur les mains. À mon avis, rien que pour ces quelques pages, la nouvelle vaut la peine d’être lue !

Vingt-Quatre Heures de La Vie d'Une Femme : Fiche de Lecture (avec Résumé Détaillé)

Je vous en laisse ici un court extrait qui, peut-être, éveillera votre curiosité.

C’étaient des mains d’une beauté très rare, extraordinairement longues, extraordinairement minces, et pourtant traversées de muscles extrêmement rigides – des mains très blanches, avec, au bout, des ongles pâles, aux dessus nacrés et délicatement arrondis. Je les ai regardées toute la soirée, oui, je les ai regardées avec une surprise toujours nouvelle, ces mains extraordinaires, vraiment uniques; mais ce qui d’abord me surprit d’une manière si terrifiante, c’était leur fièvre, leur expression follement passionnée, cette façon convulsive de s’étreindre et de lutter entre elles.

Vingt-quatre heures de la vie d’une femme, Stefan Zweig

Quand se passe Vingt-quatre heures de la vie d’une femme ?

L’histoire de Vingt-quatre heures de la vie d’une femme se déroule pendant deux temporalités distinctes. Le récit commence au début du XXe siècle. Une vieille femme commence ensuite à raconter vingt-quatre heures de sa vie qui se sont déroulées de longues années auparavant.

Cependant, la date exacte où se déroule l’histoire de cette nouvelle importe peu. C’est plutôt la justesse de la description des sentiments des personnages et son caractère intemporel qui retiennent l’attention du lecteur contemporain.

Les personnages

Le but de cette fiche de lecture de la nouvelle Vingt-quatre heures de la vie d’une femme est de donner au candidat à l’oral de français des clés d’analyses immédiatement utilisables pour sa présentation.

Aussi, pour chaque personnage, et même s’ils sont finalement peu nombreux, je m’en tiendrai à l’essentiel.

Le narrateur

Le narrateur est, dans cette nouvelle, davantage présent pour écouter que pour agir.

Il porte une attention toute particulière aux motifs de la fuite de Madame Henriette, et est, par conséquent, le premier à s’intéresser aux sentiments de cette femme, plus qu’à l’incorrection sociale de ses agissements.

L’ouverture d’esprit dont fait preuve ce narrateur frappe Mrs C. et ouvre la voie à sa confession qui occupera la majeure partie de la nouvelle.

Madame Henriette

On sait relativement peu de choses d’elle, si ce n’est ce qui compte le plus aux yeux de tous les pensionnaires : elle a quitté son mari et ses deux filles pour un jeune français rencontré quelques jours plus tôt.

L’auteur veut placer le lecteur dans la même posture de juge aveugle que les autres pensionnaires : il ne sait rien de Madame Henriette, mais peut quand même critiquer son attitude légère.

C’est grâce à l’intervention du narrateur que le personnage de Madame Henriette est, sinon absout, au moins compris.

Mrs C.

C’est une vieille dame anglaise. Touchée par la prise de position du narrateur pour Madame Henriette, elle décide de lui raconter sa propre histoire.

Son récit est celui du conflit entre tentation et honte. Si le désir semble plus fort pendant l’ensemble de ses vingt-quatre heures, c’est finalement la honte qui l’emporte.

Les remords de Mrs C. face à sa tentation charnelle et amoureuse interrogent la légitimité du désir féminin dans une société qui cherche à tout prix à l’occulter.

Ils interrogent également la vie après le deuil : Mrs C. fait rapidement face à l’ennui, erre seule dans les casinos pour stimuler ses nerfs. Est-elle condamnée à renoncer à l’amour, à seulement 40 ans ?

Enfin, l’histoire de Mrs C. pose la question des choix de vie. En imaginant une seconde que Mrs C. et le jeune homme aient fui ensemble, y aurait-il eu un avenir pour un couple si éloigné des convention dans une société aux moeurs plus rigides qu’elle ne voudrait le faire croire.

Le jeune homme

Mrs C. rencontre le jeune homme en observant les joueurs à une table de casino. Elle est d’abord fascinée par ses mains.

En l’observant, elle comprend vite que le jeu est pour lui une question de vie ou de mort.

Ce jeune homme incarne le danger de l’addiction au jeu. Il a tout perdu, il a volé à sa propre famille, vendu des objets ayant une valeur sentimentale, et s’apprête à laisser ce qui lui reste de vie à la table.

Il semble un moment sincère quand Mrs C. lui tend une main charitable, il jure même devant Dieu que jamais il ne rejouera.

Hélas, on voit l’impérieux besoin reprendre le dessus quand il ne parvient pas à embarquer dans le train devant le ramener chez lui.

Finalement, il favorise son addiction au jeu, et rejette violemment Mrs C., ce qui met fin aux vingt-quatre heures de passion entre les deux personnages.

Difficile de vraiment juger de la bonne foi du jeune joueur. Était-il sincère ? A-t-il cherché à manipuler Mrs C. ? C’est là une question qui reste sans réponse claire à la fin de la nouvelle.

Les principaux thèmes

Une nouvelle, par définition, se construit autour d’un petit nombre de personnages, se concentre sur une intrigue principale et évite de s’éparpiller pour des raisons évidentes de longueur.

Cependant, plusieurs thèmes sont abordés de près ou de loin dans Vingt-quatre heures de la vie d’une femme, et il me semble important de les souligner, même brièvement, dans cette fiche de lecture.

Le casino

Vingt-Quatre Heures de La Vie d'Une Femme : Fiche de Lecture (avec Résumé Détaillé)

C’est le cadre d’une partie importante du texte. On lit dans cette nouvelle la fièvre du jeu, l’addiction du jeune homme, mais aussi le divertissement d’une femme qui cherche à combattre l’ennui.

Le casino est un lieu de rencontre, de corruption et, de jeu. Seulement, on n’y joue pas que son argent, mais aussi, dans le cas du jeune homme et de Mrs C. : sa vie.

Et bien sûr, le casino, l’hôtel, Monte-Carlo, tout cela représente l’argent qui se consomme de plus en plus follement à l’entrée du XXe siècle.

Les jugements de la société

La petite pension bien comme il faut dans laquelle séjourne le narrateur est la parfaite représentation d’une société qui se veut libérée mais qui refuse de retirer ses fers.

L’auteur insiste particulièrement sur l’ambiance chaleureuse tant que chaque personnage respecte des codes sociaux tacites. Dès la fuite de Madame Henriette, la cordialité de la micro-société vole en éclats.

Il en faut peu, finalement, pour perturber les rouage sociaux !

Les sentiments des femmes

Dès le titre de la nouvelle, le déterminant indéfini “une” indique la banalité du propos. En faisant ce choix, l’auteur insiste sur l’universalité potentielle de son histoire.

Ici, en seulement quelques pages, le lecteur peut rencontrer deux femmes qui cèdent à leur désir et choisissent de se marginaliser en refusant les codes qui régissent normalement leur conduite.

Cette nouvelle amène donc le lecteur à réfléchir au carcan imposé aux femmes.

Une femme doit rester avec son mari, même si l’amour n’y est plus. Ceci est encore plus vrai si elle est mère. Même dans la mort, après le deuil, une femme ne doit pas pouvoir rêver à retrouver l’amour : en témoignent les remords de Mrs C. après qu’elle a passé la nuit avec le jeune homme.

Le thème de l’âge

Ce dernier thème me semble également primordial dans l’oeuvre.

Qu’il s’agisse de Madame Henriette, ou de Mrs C., les deux sont tentées par un homme plus jeune.

Stefan Zweig met ici le doigt sur un désir encore tabou : celui des femmes “âgées” pour les hommes plus jeunes.

Tout dans l’attitude de Mrs C. envers le jeune homme décrit l’hésitation entre la posture maternelle et celle d’amante.

Vingt-Quatre Heures de La Vie d'Une Femme : Fiche de Lecture (avec Résumé Détaillé)

Ainsi, on voit bien que, passé un certain âge, une femme est invariablement ramenée au statut de mère. L’idée même qu’elle puisse désirer en-dehors de la notion de “famille” est mal vue.

Pourquoi choisir de présenter Vingt-quatre heures de la vie d’une femme à l’oral du bac ?

La nouvelle de Zweig trouve parfaitement sa place en lecture cursive pour compléter l’oeuvre au programme Manon Lescaut de l’Abbé Prévost.

Les similitudes sont criantes entre la descente aux enfers des personnages du roman et la marginalisation de Madame Henriette et Mrs C. par amour.

La comparaison des destins différents de ces personnages offre une perspective d’étude intéressante. En effet, la marginalisation de Madame Henriette n’est pas suivie et on ignore ce qu’elle devient, et Mrs C. est sauvée car le jeune homme ne l’aime pas en retour.

Dans Manon Lescaut, la marginalisation s’accentue sans trêve et mêne à la mort de Manon.

Résumé détaillé de Vingt-quatre heures de la vie d’une femme

Bâtir un résumé détaillé pour une fiche de lecture de la nouvelle Vingt-quatre heures de la vie d’une femme n’est pas chose aisée. En effet, le texte n’est pas structuré en chapitres, et s’attarde beaucoup sur les sentiments et la physiologie des personnages.

Cependant, j’essaierai ici de rendre compte au mieux de la progression de l’intrigue et de l’évolution des personnages pendant ces vingt-quatre heures décisives.

I. La pension

Au début du XXe siècle, dans une pension sur la Côte d’Azur, une dispute éclate.

Le départ d’un jeune français avec une Madame Henriette, mariée et mère de deux filles, choque les pensionnaires. En effet, ils ne s’étaient rencontrés que très peu de temps avant.

Tout le monde appréciait pourtant ce jeune français et ses manières distinguées. Mais maintenant la faute de madame Henriette commise, ils trouvent l’attitude des deux amants répréhensible.

Seul le narrateur essaye de prendre la défense de la femme adultère. Cela attire l’attention d’une vieille femme distinguée, Mrs C., qui finit par calmer la dispute.

Le jour suivant, le narrateur n’entre plus dans les grâces des autres pensionnaires. Au contraire de tous, Mrs C. semble chercher sa compagnie, appréciant qu’il ait tenté de comprendre les sentiments de Madame Henriette.

Comme le départ du narrateur est prévu dans les jours suivants, Mrs C. l’invite par lettre à venir écouter une confession qu’elle souhaite lui livrer.

La confession de Mrs C.

Un début de vie tranquille

Mrs C. prend en charge la narration et raconte qu’elle vient d’une riche famille écossaise.

Mariée à 18 ans, elle mène une vie facile et n’a pas besoin de travailler. Mais, alors qu’elle n’a que 40 ans, son mari meurt et elle se retrouve veuve.

Après un an à vagabonder pour s’occuper, elle commence à fréquenter les casinos qui l’aident à stimuler ses nerfs, donc à lutter contre l’ennui.

C’est ici que commence le récit de ses vingt-quatre heures.

Vingt-quatre heures de passion

Dans les casinos, elle aime observer les mains des joueurs, qui lui semblent plus intéressantes que le jeu en lui-même.

Après une longue description des mains en action, elle s’attarde sur les mains d’un nouveau joueur qui la fascinent.

Elle finit par regarder son visage et le décrit comme un jeune homme passionné par le jeu. Elle affirme que sa physionomie est directement liée à ses succès et échecs.

Il finit par perdre la totalité de son argent et Mrs C. comprend qu’il va se tuer.

Elle le suit, attend longuement, se trouve prête à le laisser partir, mais il commence à pleuvoir. Elle se réfugie alors sous un kiosque alors que le jeune homme reste seul assis sur un banc.

La veuve décide d’aller lui parler. Il sort de sa torpeur, mais prend au départ la femme pour une prostituée.

Elle lui offre 100 francs qui lui permettront de passer la nuit à l’abri et de prendre un train le lendemain pour rentrer chez lui et quitter le monde du casino qui lui est néfaste.

Seulement, le jeune homme est réellement désespéré. Il refuse l’argent, arguant que s’il le prenait, il irait immédiatement le jouer et le perdre.

À force d’insister, Mrs C. parvient à le conduire à sa chambre et passe la nuit avec lui.

À son réveil, elle éprouve d’importants remords. Elle cherche à fuir la chambre avant qu’il ne se réveille aussi. En regardant une dernière fois son visage, c’est pourtant du bonheur qu’elle ressent, le pensant sauvé de ses envies suicidaires de la veille.

Quand il se réveille, elle ne veut pas rester et lui donne rendez-vous à l’entrée du casino pour l’aider.

Ils se retrouvent dans un petit restaurant et le jeune homme raconte son histoire.

L’histoire du joueur

Issu d’une famille noble de la Pologue autrichienne, il est tombé dans le jeu aux champs de courses où ses premiers gains ont signé son arrêt de mort.

Il s’est mis à beaucoup jouer, beaucoup perdre, beaucoup emprunter, et a même fini par voler des bijoux précieux à sa propre tante.

Venu à Monte-Carlo, où se déroule cette partie de l’histoire, pour regagner le second bijoux dérobé, il a été contraint de vendre une croix à laquelle il tenait beaucoup pour avoir assez d’argent pour jouer.

Hélas, comme on l’a vu, il a tout perdu, et a donc essayé de mettre fin à ses jours.

Le sauvetage raté

Mrs C., émue par cette histoire, donne de l’argent au jeune homme et lui fait promettre de ne plus jamais jouer.

Les deux personnages se promènent pendant un moment que Mrs C. décrit comme l’un des plus heureux de sa vie. De passage devant une église, elle lui fait jurer devant Dieu qu’il renoncera au jeu.

En fin d’après midi, elle se sépare de lui, lui laisse l’argent, et lui donne rendez-vous à la gare à 19h pour un dernier adieu. Cependant, l’empressement et la nervosité avec lesquels il s’empare de l’argent ne présagent rien de bon.

Ici, Mrs C. lie son histoire avec celle de Madame Henriette en affirmant que si le jeune homme le lui avait proposé, elle serait partie avec lui.

Elle décide donc de partir par le même train que lui, mais un concours de circonstances, impliquant sa cousine à qui elle fait croire qu’elle est souffrante, fait qu’elle le rate.

Elle se rend alors au casino et tombe de nouveau sur le jeune homme qui n’a manifestement pas pris le train. En effet, il se trouve à la table de jeu.

Il refuse la demande Mrs C. de partir. Il finit même par lui crier dessus en lui rendant son argent. Alors, la veuve s’en va, humiliée, devant le reste des clients, et sa cousine qui était venue prendre de ses nouvelles.

Après ces terribles vingt-quatre heures, Mrs C. retourne en Angleterre, rongée par la honte. Elle prend le train à 22h, soit exactement vingt-quatre heures après sa rencontre avec le jeune homme.

Dix ans après ces événements, elle apprend par un membre de la famille du jeune homme qu’il s’est suicidé à Monte-Carlo.

Pour conclure

Pour terminer cette fiche de lecture de la nouvelle Vingt-quatre heures de la vie d’une femme, je reviendrai sur trois points qui en font un texte incontournable.

D’abord, la brièveté du genre de la nouvelle que s’impose Stefan Zweig le pousse à aller à l’essentiel, et ce n’est jamais au détriment de la profondeur. Ainsi le style est vif, très précis, et parfaitement fluide.

Ensuite, la justesse du personnage de Mrs C. l’inscrit dans une longue lignée de grands personnages féminins, à laquelle appartient déjà Manon Lescaut ou la princesse de Clèves.

Enfin, l’originalité de la description des mains, sur laquelle je me suis déjà attardé, doit encore être rappelée : c’est un passage absolument captivant.

J’espère avoir réussi à vous donner envie de lire cette nouvelle, ou, si c’était déjà fait, que vous avez trouvé dans cet article suffisamment d’éléments pour préparer sereinement votre oral de français.

Vous retrouverez sur le site d’autres fiches de lecture dans cette catégorie, que j’alimente régulièrement.

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